L'été indien

Après sept -intenses- semaines de classe, seule face à 28 monstres, j'ai ressenti le besoin impérieux de partir pendant les vacances de la Toussaint. Et comme j'aime allier l'utile à l'agréable, direction Nice, une fois de plus, pour continuer ma formation en Langues des Signes Française tout en flânant le long de la Promenade des Anglais.
Il y faisait doux, en cette fin d'octobre, mais c'était étrange de voir le soleil se coucher à 18h30, alors qu'à Bordeaux, bien plus à l'ouest, nous bénéficions d'une bonne heure de soleil de plus le soir.

J'ai retrouvé la place Masséna, encore en travaux; le labyrinthe du Vieux Nice (ma chambre d'hôtes était en plein coeur du Vieux Nice, je n'ai plus peur de m'y perdre!) et la plage (bon, par contre, les cailloux, comment dire?).


La vue depuis ma chambre d'hôtes...souvenez-vous, cet été, c'est exactement dans cette rue que ma glace fondait sur mes doigts.

 

Place Masséna, de jour ...

 

et de nuit :

 

Ces drôles de personnages juchés sur des piédestaux, blancs le jour et colorés la nuit, tenant compagnie aux fesses à la statue d'Apollon sont des sculptures réalisées par Jaume Plensa, artiste catalan bien connu des Bordelais.

Le Pan Bagnat, ce sandwich niçois composé d'un petit pain et de tomates, radis, oignons, thon et/ou anchois, est plutôt bon...mais dégouline d'huile (c'est fou comme les bonnes choses sont peu glamour à manger!).

Un immmmense bateau sort tranquillement du port :

Bon, avouons-le, cette semaine-là, il n'a pas fait tous les jours très beau, en témoigne cette mer déchainée...

S.