lundi 20 novembre 2017

Israel on my own : la valise presque parfaite


7 jours, 2 nuits dans des avions, 5 nuits en auberge de jeunesse, 2 villes, 1 fille. Les données étaient simples, pour ce trip un peu roots, il allait falloir bien gérer la valise. Défi relevé haut la main, il n'y a eu qu'un seul vêtement inutile dans mon sac à dos. *fierté*

Sur moi le jour du départ : un jean slim, un tee-shirt, une marinière, un grand foulard, une doudoune légère et des tennis en toile. 
Dans le sac à dos : 
- autant de culottes, paires de chaussettes, tee-shirts unis en coton que de jours+1.
- un pantalon en coton, un short en jean
- un pyjama, 2 soutien-gorges, un maillot de bain
- une robe longue en coton (le vêtement inutile)
- une grande serviette en microfibre, une petite serviette de toilette
- une paire de sandales et une paire de tongs (indispensables, ne serait-ce que pour se doucher dans les sanitaires crades communs des auberges)
- une trousse de toilette contenant le strict minimum (pas de bijoux, de maquillage, ni même de brosse à cheveux)
- un drap de sac de couchage
- 5 sacs en plastique, pour le linge sale, les serviettes mouillées, les chaussures...
Dans un sac en bandoulière, mes papiers d'identité, mon portable et son chargeur, un appareil photo, ma CB, un porte monnaie, des lunettes de soleil, le guide du Routard et une bouteille d'eau. Ce format de sac en bandoulière est très pratique, on ne craint pas les pickpockets et on peut y ranger tout le nécessaire de la journée : le mien est assez grand pour contenir l'appareil photo, la marinière et la bouteille d'eau.
Le tout pesait 8 kilos (ce qui était largement suffisant le jour où je me suis perdue dans Jérusalem en cherchant l'auberge de jeunesse). 

Je n'ai porté le jean que dans l'avion, ainsi que pour une soirée (jean, tee-shirt blanc, foulard, sandales, grand sourire, vous faites plier le videur de boite le plus rigide). Les autres jours, oui, j'ai porté le même pantalon de toile et la marinière, qui était nécessaire à partir de 16h30. Ils tiennent debout tout seuls à la fin du voyage, mais ça fait partie du jeu. J'aurais presque pu me passer du short, et la doudoune a été plus utile que prévu, pour traverser Tel Aviv by night sur un scooter ou patienter des heures dans le hall d'un aéroport, la marinière seule n'aurait pas été suffisante.

Je le savais à l'avance, ce voyage en solo serait - et a été - particulièrement éprouvant d'un point de vue émotionnel. Il était donc indispensable de ne pas être handicapée par une valise trop lourde, des vêtements trop fragiles ou pas adaptés à la météo. 

S.  




  


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