lundi 1 octobre 2018

Mon trip au Liban #8











De ce voyage, je retiendrai la beauté des forêts de cèdres, la gentillesse des Libanais, la nourriture fabuleuse, les montagnes sauvages, les ermitages perdus au fond de vallées profondes, la tiédeur salvatrice de la Méditerranée à Byblos après une rando particulièrement éprouvante.

 J'ai été littéralement envoutée par les temples de Jupiter et de Bacchus à Baalbek, c'est absolument...magique.

A Beyrouth, comme à chaque fois que je voyage seule, j'ai été envahie par des vagues d'émotions très fortes. Après Tel Aviv la pétillante et Naples la colérique, Beyrouth est une cité courageuse qui panse ses plaies après la guerre. Un animal blessé qui lèche ses plaies. Une boxeuse, un peu KO, qui se relève. Un sourire triste, vous savez, quand on arrête de pleurer. Voilà, Beyrouth se reconstruit, tout de verre et d'acier, mais entre deux immeubles ultra-modernes se dresse toujours une bâtisse criblée de balles, souvenir - nécessaire - d'une guerre pas si lointaine.


Je suis partie avec l'agence Nomade Aventure, qui propose un tour très complet du Liban (randos et découvertes) pendant une semaine, puis je suis restée seule à Beyrouth quelques jours, dans la plus chouette des auberges de jeunesse : Saifi Urban Gardens

S.

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